jeudi 10 février 2022

Dernier article de notre belle Noémie !

Les grands dauphins

Le grand dauphin, également appelé souffleur, dauphin à gros nez ou Tursiops, est un cétacé à dent appartenant à la famille des Delphinidae. C’est l’espèce le mieux connue de sa famille, notamment parce qu’elle a été longuement étudier en captivité et a l’état naturel le long des côtes qu’elle fréquente.

Où habite t’il ?

Le grand dauphin est présent dans toutes les mers du monde, à l’exception des zones Arctiques et Antarctiques.

La communication et la chasse

Les dauphins communiquent grâce à une variété de sons émis par l’intermédiaire du melon, un sac nasal situer sur le front. Cette masse graisseuse peut transmettre et focaliser les ultrasons, lui permettant de repérer la position et la vitesse de ses proies.

Ils chassent grâce à leurs capacités d’écholocalisation. Ils se nourrissent principalement de poissons qu’ils saisissent à l’aide d’une série de petites dents pointues.

Leur mode de vie

Les femelles donnent naissance à un seul petit par porter. Ils atteignent la maturité vers l’âges de 12 ans.

Les grands dauphins vivent généralement en groupes formé de femelles est de jeunes. Alors que les males forment des associations appelées alliances, afin de défendre les membres de leur groupe. C’est un animal qui montre une certaine curiosité lors de ses rencontres avec l’humain.

Caractéristique  

Ils mesurent généralement de 2 à 4 mètres pour un poids de 150 à 400 kg. Comme tous les cétacés le grand dauphin n’a pas de fourrure, même si quelque poil son présent durant ses premiers mois de vie.

Il existe des différences physiques entre les grands dauphins océaniques et ceux du littoral. Les premiers sont plus grands et plus robuste que ceux qui vivent le long des côtes. La couleur de la peau est la même pour les deux groupes, diverses teintes de gris sur le dos et le blanc sur le ventre. Sur les cotés le gris est plus pales. Cette coloration procure un effet de camouflage rendant les dauphins difficiles à identifier lorsqu’on regarde de haut.

La peau des dauphins amortit les turbulences de l’eau, grâce à une structure alvéolaire et à des micros déformations de sa surface, ce qui leur permet de nager plus vite, jusqu’à 45 km/h.

La nageoire dorsale, de forme triangulaire et recourbée, mesure en moyenne 23cm. Les nageoires pectorales mesures environ 30 à 50 cm. La nageoire caudale, divisée en deux lobes est d’une largeur moyenne de 60 cm. Ces nageoires dorsales et caudales ne contiennent ni muscles, ni os et sont entièrement constitués de tissus conjonctifs.

Voilà pourquoi c’est le plus grand des dauphins !!! 

 Voici un petit dessin fait pour vous montrer l’emplacement des nageoires du dauphin



Voici d’autre petites informations que j’ai découvertes dans le cadre scolaire.

Pour la science nous avons un questionnaire à remplir, après avoir écouté un épisode de «C’est pas sorcier ». Mon frère et moi avons eu le bonheur d’en écouter un sur les Dauphins. (Ces informations sont sur les dauphins en générale)

Le dauphin peut vivre jusqu’à 40 ans dans la nature.

Il a environ 88 dents. Je dis environ parce qu’il peut en perdre, tout comme nous !

L’ancêtre du dauphin avait des pattes et du poil et vivait dans le temps des dinosaures. Il a été chassé par les plus gros prédateurs et a dû s’adapter à vivre dans l’eau. Il se nommait le Mesonyx. Si vous comparez le squelette d’un requin et celui d’un dauphin, vous allez constater qu’ils sont différents à cause cette transformation.

 


Le dauphin peut rester 3 à 4 minutes sous l’eau ou un quart d’heure, car il est pourvu de poumon, puisqu’il est un mammifère.

Il peut aller jusqu’à 100 mètres de profondeur. Ils peuvent aussi manger dans l’eau parce que au contraire de nous, le conduit d’aire et le conduit de nourriture son totalement indépendant.


 


La vitesse que peut atteindre un dauphin est de 20km/h avec des pointes de 75km/h.

Ils peuvent voir sans utiliser leur yeux grâce à leur melon (que je vous ai parlé plus haut et que l’on voit également sur l’image ci-dessus). Il qui capte une image en deux temps. La première capture, l’image est floue et ensuite, c’est comme une vision claire.

Pour finir…

Avec des petits, ça ne s'oublie pas !!!

Une de nos rencontres avec ces mammifères tant adorés




jeudi 30 décembre 2021

La République Dominicaine

 Du 28 novembre au 26 décembre

Une navigation de 809 milles nautiques pour 153h, soit 6 jours et 9 heures.

Nous avons mouillé l’ancre à Bahia de Las Aguilas le vendredi 26 novembre à 18h. Où nous nous sommes reposés un peu, soit 2 nuits.

Nous avons connu toutes sortes de situations durant cette nave.

Du gros vent, du pus de vent, de la grosse vague, du gite en masse, de la pétole et des alizés parfaites (seulement 2 jours).

Elle a été plus longue que prévu car, le golf de la Colombie nous a quelque peu retenu. Les trois premiers jours nous avions de la difficulté à progresser vers l’est initialement pour ensuite prendre les Alizés cap au nord.

Notre tracé de route...

Du gite x1000


le passage des dauphins

Un lever de soleil sur une mer calme

Le passage d'un bateau de croisière


Bien beau le repos, mais il faut aussi faire nos formalités et rentrer au pays officiellement. On doit donc, repartir de ce premier ancrage. Le « fun » commence.

L'arrivée avec le coucher de soleil

Ancrage très calme, un calme bien mérité

Un ami à bord nommé : Reppana

Lever de soleil avant notre départ

On s’est dit, allons vers Isla Beata, ça nous semblait jolie et les guides nous laissaient croire de belles choses. Alors, le dimanche 28 novembre, après avoir été baigné dans une marre de méduses (trop impressionnant), on met cap vers la pointe nord de Isla Beata pour environ 25mn. Une belle navigation où nous arrivons en fin d’après-midi.

Beau réveil !

Cerné par les méduses

On reçoit rapidement la visite de l’Armada (l’autorité de port ici), qui nous dit qu’on ne peut dormir ici et que l’on doit repartir faire notre dédouanement. Ils nous laissent avec une odeur de poisson et de l’eau salée partout dans notre bateau, ainsi qu’une impression que nous ne sommes pas les bienvenues.

Julien et sa passion des poissons volants hihi
Tite face d'amour !

Beaucoup de pêcheur sur cette île

magnifique coucher de soleil
Nous aurons au moins eu cet accueil

C’est donc, dans la nuit, que nous reprenons notre route vers Barahona, où ils nous attendent de pied ferme pour faire nos formalités. À peine avons-nous le temps de mouiller l’ancre après 96mn au près et un dîner sur la table, que l’on doit aller récupérer les autorités pour remplir la paperasse. Ils sont déjà plus accueillants ici, mais réclame leur bière froide afin de discuter sous le soleil brulant. On se rend rapidement compte que la République Dominicaine ne sera pas notre endroit préféré. Tout est désorganisé et compliqué, mais simple à la fois. Les gens roulent tous à moto, pas de casque, avec des enfants derrières eux, à une vitesse folle et frisant la folie. Il nous est clairement conseillé de retourner sur notre bateau avant le coucher du soleil pour s’y mettre en sécurité.

Rassurant !

En plus d’être entouré d’une eau douteuse, beaucoup de déchet dans un endroit bruyant.

Toujours et encore les poissons volants 
Les nageoires-ailes sont quand même belles !!!

Notre ancrage...
Nous n'avons pas le côté du débarcadère bruyant et très éclairé 

Petit parc où nous attendons nos informations auprès de l'immigration
Pays des motos folles, même si cela ne paraît pas sur la photo

Peu importe le style de plage Julien en prend plaisir !

Plage moins agréable, eau moins belle, mais beau paysage quand même !!

Bref, après avoir avitaillé un peu, récupéré des données internet on reprend la route le mercredi le 1e décembre vers Las Salinas, dans la baie de Bahia de Las Calderas.

Une autre nave, au près, avec beaucoup de vent et de vagues.

Drôle de surprise en arrivant dans l’inlet, plus tard que prévue, vu que nous avons tiré des bords, un genre de gros parc de pêche avec des bouées rouges. Leurs couleurs nous laissaient croire que l’on devait les laisser à notre tribord, ce qui nous a fait foncer directement dans cette énorme structure. Aucune casse, mais bien du découragement de n’avoir aucune indication de ce type d’obstacle en plein dans l’entrée d’un endroit d’ancrage.

On croyait pouvoir reprendre la route le lendemain. Erreur ! Ici les autorités, c’est du gros n’importe quoi. Nous avons vite compris que l’Armada ne sont pas habitués à recevoir des passants dans leur baie. Étant plus au sud donc moins fréquenté par les touristes. Ils ne connaissaient pas leur propre procédure. Ils nous ont niaisé et retenu dans cet ancrage durant trois jours. Notre capitaine en a fait des allés retours afin d’obtenir notre droit de navigation pour notre prochaine destination.

Navigation vers Las Salinas

Le feu dans le ciel !!!

Les montages à babord dans notre ancrage

Le quai à proximité

L'attente pour voir l'Armada qui n'est jamais venu

Production de ROCHEmoiunSOURIRE

Résultat final

Faut pas oublier, ils sont aussi dans leur production
du calendrier de l'Avent.
Pas d'école, on fait ça avant le déjeuner hahahahah

On fait aussi nos journaux de bord !

Un des nombreux allés retours du capitaine pour
obtenir nos documents de déplacement

Il va jusque là bas....

Il a pus prendre en photo le parc dans lequel nous avons
rentrer à notre entrée dans la baie

Ouuufff la face du gars à bout qui a enfin eu son document !

Chacun de nos déplacements doivent être autorisés par l’Armada. Nous devons obtenir un « despacho » que nous devons remettre aux autorités à notre arrivée. Parfois, ils peuvent même t’empêcher de quitter les lieux par mauvais temps, par exemple.

Quoiqu’il en soit, on réussit finalement à quitter la baie, le dimanche 5 décembre, à plus ou moins minuit. En route vers la marina Zarpar de Boca Chica.

Enfin, un endroit où ils sont efficaces et nous reçoivent comme des passants qui désirent faire autre chose que de courir après les documents officiels.

La marina est jolie, les services accessibles, encore une fois, c’est bruyant. Il nous a été déconseillé de sortir de l’enseigne de la marina, passer le coucher du soleil. Nous avons profité des installations pour se faire un petit resto en famille. Les enfants étaient ravis de manger leur frite avec croquettes de poulet.

Il y en avait deux de ces gros parcs à pêche.
On les voyait bien avec le radar, ce à quoi nous n'avions pas pensé lors notre arrivée

Une posture intéressante lors de la navigation...
ahhhh ce gite !

l'Armada très efficace ici

Party time, tellement que les enfants récupèrent
des ballons qui s'échappent des bateaux

L'ancrage de bateau moteur juste à côté des quais
Musique à fond

Belles installations

Accueil de la marina avec un tableau mural
de leurs installations

Souper avec enfants heureux !

Beau coucher de soleil

Facile de même, récupération du despacho

Ici nous avons profité de la proximité de la ville pour un plus gros avitaillement. La marina offre le transport. Nous avons aussi réglé des technicalités  pour l’approvisionnement en donnée internet. Ici ça fonctionne par carte SIM au 5 jours. Initialement on devait acheter le nombre de carte versus le nombre de jours passées ici. Quel gaspille ! Finalement, sur la même carte on peut acheter plusieurs 5 jours que nous renouvelons à chaque échéance.

Ceci réglé, c’est le mardi 7 décembre que l’on entreprend notre ascension vers la baie de Samana. On fera quelques arrêts en route dont Isla Catalina et Isla Saona, chacune pour seulement une nuit.

De belles îles, avec de la belle eau, par contre moins tranquille comme ancrage vu la houle qui nous offre une berceuse un peu trop acharnée pour dormir !

L’île de Saona est bondée de jour, à compter de 16h, tous les bateaux, soit des centaines, ont désertés la place.

Nous avions déjà parcouru plus ou moins 64mn, donc on continu !

coucher de soleil à Isla Catalina

Maintenant le lever du soleil

Isla Catalina et sa belle eau - enfin !

Isla Catalina

Côté calme de Isla Saona

Des bateaux bondés de monde !

Beaucoup de bateau...

C’est dans la matinée du jeudi 9 décembre, que l’on quitte pour notre destination ultime, St-Barbara de Samana. Pour un gros 153 milles nautiques. Toujours une navigation difficile au près avec des vagues hachées. Le Mona passage fait toujours cet effet.

Ce passage relie l’océan Atlantique et la mer des Caraïbes, ce qui en fait une navigation perturbée à cause des différents courants.

On profite du vent durant la navigation pour
faire voler nos avions en papier

Mona passage, nous voilà de retour dans l'océan Atlantique

Entrée dans la baie de Samana !

Approche de notre ancrage

Le coucher de soleil avec le pont

Dès notre arrivée dans la baie, on sent que nous y serons bien. C’est joli, malgré une eau brouille. Même les dauphins nous souhaitent la bienvenue en passant tout prêt de notre bateau ancré, et ce dans les premières heures de notre arrivée.

L’Armada passe en moins de 30 minutes pour nous accueillir et récupérer la « despacho ».

Nous sommes devant l’ile de Caroline Vigia. Les couchers de soleil y sont magnifiques devant le pont qui relie cette île à Ste-Barbara.

On ne tardera pas à aller voir cette belle ville. Les locaux sont motivés à nous vendre toutes sortes de souvenirs, on se fait pratiquement tirer du bras pour les suivre.


Dauphins dans l'ancrage juste devant le bateau qui leur cour après

Ils passent devant Total Freedom,
toujours avec le bateau à leur trousse


Débarcadère de St-Barbara de Samana

Une belle ville !

Des décos de Noël simple 

Et même fait de bouteilles recyclées



Ahhhh on aime ça ces lettres de ville...

Pourquoi la baleine ?
Car à partir de la mi-janvier, il est fréquent d'en
voir dans la baie où nous sommes ancrés.

Ville colorée, comme on les aime !

La visite du pont qui relie Cayo Vigia et St-Barbara de Samana

Mon guide, Julien, qui souhaite me montrer la maison
d'où on peut observer la vue




La baie vue d'en haut...

Notre ancrage

La plage de Cayacoa


Une activité trop top, sauté du pont, les locaux ont l'air de tripper !

On fait aussi le plein d’eau fraîche avec toute cette pluie. Ce qui rend difficile le séchage de notre lavage, mais bon !

Nous aurons aussi la chance de louer une voiture pour se rendre à Las Terrenas, où nous aurons notre rendez-vous chez le dentiste. L’amiral doit avoir une couronne et l’équipage des nettoyages. On y fera aussi la rencontre d’une famille qui nous suit depuis notre départ. Ils deviendront rapidement des amis, un pur bonheur d’être en leur présence.

Des québécois courageux qui ont quittés notre pays pour se bâtir une nouvelle vie ici.

Las Terrenas nous fait apprécier la République, c’est un monde à part. Beaucoup de québécois et de français sont expatriés ici, dont la dentiste qui nous a été recommandé.

Encore une fois, on profite de l’endroit pour avitailler avant de revenir au bateau. Aussi bien profiter du véhicule 😉

Go vers Las Terrenas

Quand il faut faire une halte, parce que la vue est trop belle !!!

Arrivé au dentiste

Le parc devant le dentiste, où nous mangerons

Promenade avant le dîner


Une petite collation sur la plage


Une boutique au nom de l'amiral hihi

Magnifique murale !

C’est le mercredi 15 décembre que l’on ira découvrir le parc national de Los Haitises. Un endroit magnifique avec beaucoup de grottes et de mangrove. Malheureusement, l’eau, ici aussi, est peu invitante, brune avec un fort courant.

Cependant, les grottes sont WOW. Ce sont, carrément, les trésors de la baie de Samana.

Un incontournable.

La première nommée : la Cuava de la Linea et la seconde : La Playa Cueva de la Arena. Les deux sont très différentes et tout aussi magnifique l’une que l’autre.

Nous avons aussi fait une rivière de mangrove qui menait à une station de repos avec plein d'animaux.

Nous sommes retournés à la deuxième grotte à deux reprises. Cette seconde fois, avec nos amis du bateau de Tigger Lilly. On a profité de l’occasion pour y déposer les galets peinturés que nous avions faits.

Tu connais le site @ROCHEmoiunSOURIRE ? Non ! Va voir ça sur Facebook. En fait, le fonctionnement est simple. Peinture sur galet que l’on dépose dans un endroit afin que des passants les découvre, les partage, les conserve où les remplace, tout ça dans le but de faire sourire ceux qui les trouve !

Notre ancrage.
Devant -> Pier La Perla

Le passage vers la première grotte
Un délicieux mélange de rock et de mangroves

Devant l'entrée de la première que nous visiterons


Beaucoup de pictogrammes qui date depuis plusieurs centaine d'années


C'est plutôt haut !!!

La roche Perla, on la croise en allant à la deuxième grotte


Cette deuxième attraction est différente,
je dirais même la préférée de l'amiral !

C'est partie...


deux ouvertures qui une fois bien positionné forme un coeur


La rivière de mangrove avec une grue blanche


Drôle de façon de s'amarrer hihihi

Là où il y a des animaux, Noémie est tout proche, surtout les chevaux

Même des oies j'adore !

cachette de la roche à Noémie lors de notre deuxième visite




Celle de Julien maintenant...

Des visages gravés dans la roche, original !



ahhhh nous sommes beaux.
Sortie avec nos amis du voilier Tigger Lilly


Au retour activité peinture sur galet !

Il y a aussi cette journée où nos moussaillons ont décidés de décorer le bateau pour Noël...

Julien notre décorateur de Noël en boxer

Beau père ou mère Noël
J'en sais trop hier !

Décos faites
On aime bien !

Sapin de broche nouveau genre !

C’est le dimanche 19 décembre que nous allons faire un tour à la plage pour découvrir l’épave Sir Francis Drake et se dégourdir un peu.

À notre retour vers le bateau, on longera les falaises pour y découvrir des merveilles.

L'épave Sir Francis Drake




Passage douteux reliant les deux rives


Différentes grottes qui nous entoures


Des décors où nous aurions pus y passer la journée


En PM on retourne à St-Barbara de Samana. Car le rendez-vous pour installer la couronne de l’amiral sera le mercredi suivant.

D’ici ce temps-là, maman abat beaucoup de boulot pour son entreprise.

Donc, le mercredi 22 décembre, on quitte à 8h30 en autobus vers Las Terrenas, car il n’y avait aucune voiture de location de disponible. On fait une halte à El Limon pour ensuite embarquer dans la boîte d’un pick-up afin de finir notre route. C’est particulier et plaisant comme moyen de transport.

ahhh ce pont au coucher de soleil...
On ne se tanne pas !

En route, prise II, vers Las Terrenas, en bus et...

... en pickup

Oui oui, ça sèche les yeux, mais c'est vraiment agréable !

Maman va à son rendez-vous et le reste de l’équipage s’engage vers l’épicerie.

Un ami que nous nous sommes faits dans l’ancrage de Samana, nous offrait le raccompagnement vers le bateau, alors on maximisait notre temps au maximum.

Jean-François, un homme de 72 ans, rempli de vécu, nous raconte toutes ces aventures. Il nous fait découvrir El Limon avec sa conjointe Dominicaine. Il nous parle de ses futurs projets de construction, nous montre son terrain, la résidence qu’il loue pour son couple… Bref, nous passons un merveilleux moment en sa compagnie et découvrons davantage le mode de vie des républicains.

À notre retour nos amis québécois, la famille que nous avons rencontrée ici, viendront nous rejoindre à bord et clôturera cette magnifique journée !


Une ville d'artiste, il y en a partout en République Dominicaine
Affiché au mur extérieur et même parfois par terre

Un bâtiment en forme de bateau croisière

Le cadeau fait par les enfants et remis à la dentiste
Elle les a afficher dans son bureau, adorable !


Nous voilà en voiture avec notre ami

Belle tablée !

Repas succulent !

Ahhhh David et Kathrina
Amis Québécois qui bâtissent leur nouvelle vie ICI

Le lendemain, retour sur terre pour faire la tournée des grands-ducs, soit l’immigration, les douanes, l’Armada et le dernier, mais non le moindre, les tests covid pour notre départ vers les Bahamas.

Bonne chose que la date soit celle-ci, car les restrictions se resserrent dans ce prochain pays. Disons que les procédures d’entrée dans ce nouveau pays sont un peu intenses… On vous expliquera le tout dans un prochain article.

Encore une fois, dernière visite au marché pour des fruits et légumes frais, car aux Bahamas, qui sera notre, sous peu, c’est très cher. Alors, on foul !

Test COVID en cour

Pratique ces rapides tests PCR obligatoire pour les Bahamas

Les douanes de Ste-Barbara de Samana


Maintenant l'Armada

Le marché

Oui on repart avec nos achats !

Le 24 décembre au matin, préparation de cette veille de Noël. Gâteau choco-banane fait de la main de mon lutin préféré. Lavage fait des pieds de mes matelots préférés et du bon temps passé ensemble avant de se rendre au souper de Noël sur le bateau Tigger Lilly ! Un autre merveilleux moment.

Un beau lever de soleil pour la veille de Noël

Notre capitaine va faire le remplissage d'essence

Mon lutin PREF qui fait notre gâteau

On passe le temps avant cette soirée entre amis

Les ongles de pieds seront aux couleurs de Noël !
Merci Noémie !

Julien aussi veut essayer !

Notre gâteau de Noël

Bon appétit les amours !

Ils ont été gâté par Fabiola, Pedro et Sophie !
Merci pour les cadeaux ;-)


Joyeux Noël !

C’est ce 25, jour de Noël que nos moussaillons découvrent leurs présents dans leur bas de Noël pour ensuite profiter de ce matin magique. L’Armada est prévue passer pour nous remettre nos documents de départ vers 10h.

Les bas de Noël, ils avaient tellement hâte !

Même Vachelle en a un !

On a le droit de déjeuner au Kit Kat le matin de Noël !?


Avant le dîner, on quitte vers Cayo Levantado. Une dernière nuit sur les rebords d’une belle plage, dans une eau plus translucide…


Nous avons la Despacho !

Dans cette même après-midi nous recevons toutes les approbations d’entrée aux Bahamas. Succes un merveilleux trois mois nous attendent…

C’est le dimanche 26 décembre en milieu d’avant-midi que l’on fera route vers les Bahamas pour un 300 milles nautiques environ, soit maximum 48h.

À nous la belle eau ! Dernière destination dans les îles des Caraïbes.

Départ de la baie de Samana

Beaucoup de soleil pour regarde le bateau de croisière


Notre ancrage de Los Levantado


Préparation de nourriture pour la nave

Inspection et rangement avant la nave !

Dernier article de notre belle Noémie !

Les grands dauphins Le grand dauphin, également appelé souffleur, dauphin à gros nez ou Tursiops , est un cétacé à dent appartenant à la f...